Xreal One Pro, notre décryptage honnête pour bien choisir ces lunettes écran géant avant de cliquer et acheter.
Xreal One Pro : test et avis avant achat
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Nous vous proposons un article complet sur les Xreal One Pro, des lunettes-écran pensées pour le divertissement nomade et l’affichage externe. Ici, pas de promesse floue : nous détaillons ce que font réellement ces lunettes, leurs atouts, leurs limites, et pour qui elles ont du sens.
Le but ? Vous aider à décider sereinement, avant de valider le panier.
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Sommaire
- 1 ✍️ Unboxing et installation : du carton à l’écran géant portatif
- 2 ⚖️ Caractéristiques : écran micro-OLED, confort et réglages utiles
- 3 💡 fonctionnement et utilité : un moniteur personnel à emporter partout
- 4 ♻️ Accessoires : Xreal Eye et Xreal Beam Pro, intérêts et limites
- 5 Xreal Eye
- 6 Des défauts à prendre en compte avant d’acheter
- 7 ✅ Ce que j’adore
- 8 ❌ Ce qu’on aime moins
- 9 Concurrences alternatives au Xreal One Pro
- 10 ❗ Prix, disponibilité et alternatives crédibles
- 11 Test des Xreal One Pro : le futur de l’écran portable vaut-il 689 € ?
- 12 Points forts
- 13 Points faibles
✍️ Unboxing et installation : du carton à l’écran géant portatif
À l’ouverture, les Xreal One Pro jouent la carte premium : une boîte soignée, un étui de transport volumineux en similicuir noir mat agréable en main, et un jeu d’accessoires utiles au quotidien. On découvre un câble USB-C tressé et souple (longueur estimée ~1,2 à 1,5 m), des plaquettes nasales de tailles différentes pour ajuster l’appui, un chiffon fin pour l’entretien, ainsi qu’un support pour verres correcteurs si vous avez besoin d’une adaptation à votre vue (en option).
La documentation se compose d’un guide rapide (avec QR code vers un tutoriel) et d’un manuel plus complet indiquant l’emplacement des haut-parleurs et microphones. Le premier contact rassure : la monture semble dense, bien assemblée, et les branches orientables affichent des grilles de haut-parleurs, une commande de volume, un bouton multifonction, et le port USB-C placé à l’arrière de la branche gauche.
Entre les verres, une protection caoutchouc couvre le connecteur destiné au module caméra optionnel (Xreal Eyes).
Côté mise en route, la philosophie est simple : ce sont des lunettes-écran, pas un casque autonome. Aucune batterie intégrée ; elles tirent l’alimentation de la source. Il suffit de brancher le câble USB-C des lunettes à un appareil compatible DisplayPort Alt Mode (smartphone, PC, console portable type Steam Deck/ROG Ally ou même un drône) et l’image apparaît, comme sur un moniteur externe de 200″.
L’installation est donc “plug-and-play”, sans logiciel à installer. Sauf qu’il faudra faire une mise à jour en connectant les lunettes à un ordinateur, cela prend moins de 5 minutes. Attention toutefois car toutes les machines qui vous serviront de sources ne supportent pas la vidéo en USB-C DP. C’est par exemple le cas de la Nintendo Switch qui requiert un passage par son dock/HDMI et un adaptateur HDMI> USB-C dédié.
En clair, l’expérience d’unboxing est plaisante, l’installation est simple et rapide, mais la compatibilité dépend de la sortie vidéo de votre matériel. Pour bien commencer, je vous conseille de vérifier le support DisplayPort Alt Mode, préparer des écouteurs in ears Bluetooth (pas un casque audio qui ne vas pas se coller correctement avec les grosses banches), et choisir la plaquette nasale adaptée pour un maintien confortable sur la durée.
⚖️ Caractéristiques : écran micro-OLED, confort et réglages utiles
Les Xreal One Pro misent sur deux dalles micro-OLED Full HD (une par œil), pour une image fine, contrastée et stable. D’après la source, la luminosité peut atteindre jusqu’à 710 nits (valeur annoncée : 710), ce qui autorise un visionnage en environnement lumineux, surtout si l’on active l’assombrissement des verres. Le système optique repose sur un prisme/miroir semi-transparent orienté, avec désormais un traitement antireflet pensé pour limiter les remontées de lumière ambiante venant du bas (vêtements, table, etc.).
Le rendu à l’œil forme une “fenêtre” équivalente à un très grand écran virtuel positionné à environ 4 m, perceptible comme un écran de 170/200 pouces, réglable via une interface embarquée : distance apparente et taille sont ajustables, de l’image rapprochée à l’écran reculé à plus de 10 m.
Le confort est un axe fort : 87 g sur la balance, ce qui change franchement la donne face à un casque volumineux. Trois niveaux d’opacification à cristaux liquides permettent d’assombrir les verres. Le niveau 1 reste transparent, le 2 assombrit modérément, le 3 isole presque totalement pour renforcer l’immersion et garder un contraste maximal. Nous avons également noté la présence de haut-parleurs intégrés dans les branches (technologies issues d’un partenariat avec Bose), pratiques pour un visionnage rapide en solo, même si des écouteurs Bluetooth restent préférables en mobilité. Pour la compatibilité AR/6DoF, la structure accueille un connecteur central destiné au module caméra optionnel, point que nous détaillons dans la section “accessoires”.
Quelques limites techniques sont à connaître : un champ de vision autour de 57° qui cadre l’image comme un grand écran “posé” devant vous, loin de l’immersion d’un casque VR. On observe aussi une légère distorsion optique dans les coins, perceptible sur des interfaces de bureau (menus, icônes), mais rarement gênante en film/série. Enfin, la branche gauche peut chauffer sur la tempe après 15–20 minutes, phénomène logique puisque l’alimentation et les données transitent par ce côté.
💡 fonctionnement et utilité : un moniteur personnel à emporter partout
Il faut le répéter pour bien cadrer les attentes : Xreal One Pro n’est pas un casque de réalité augmentée autonome, mais un écran externe personnel très léger qui s’appuie sur votre smartphone, votre PC ou votre console portable. En pratique, l’usage est évident : vous branchez, l’appareil hôte détecte un second écran, et vous profitez de vos contenus en grand format sans monopoliser la télévision du salon ni porter un casque couvrant. Dans un train ou un avion, la promesse est claire : transformer un siège étroit en salle de projection portative, sans imposer vos images aux voisins. Nous vous recommandons des écouteurs à réduction de bruit pour compléter l’isolation visuelle offerte par l’assombrissement de niveau 3 ; immersion et discrétion y gagnent.
Les scénarios qui fonctionnent particulièrement bien sont le visionnage de films/séries depuis un smartphone compatible (l’expérience est excellente avec DeX disponibles sur les modèles Samsung, l’interface devenant “type PC” et le téléphone servant de trackpad), lecture vidéo depuis un PC portable (bureautique d’appoint possible, en gardant à l’esprit la petite distorsion périphérique), et jeu nomade avec un Steam Deck/ROG Ally grâce à la sortie USB-C DisplayPort.
Côté 3D, un mode SBS (side-by-side) est présent ; lorsqu’on trouve des fichiers 3D adaptés et que le mode est activé, le spectacle fonctionne bien, mais l’ergonomie reste contraignante (interface hôte inutilisable en 3D, navigation pénible pour sortir/mettre en pause). Cela intéressera les bidouilleurs motivés, moins le grand public.
Sur la consommation, pas de batterie dans les lunettes : l’autonomie sollicitée est celle de votre source. Mais Xreal réussi un tour de force avec une très faible consommation de ses lunettes.
Au quotidien, l’équation reste favorable en mobilité si vous privilégiez la légèreté, l’ergonomie “plug-and-play” et la possibilité d’un grand écran privé sans encombrer votre sac.
♻️ Accessoires : Xreal Eye et Xreal Beam Pro, intérêts et limites
Deux accessoires méritent votre attention.
Xreal Eye
Le premier, Xreal Eye, est une petite caméra optionnelle 12 Mpx qui se fixe entre les verres. Elle débloque jusqu’à 6 degrés de liberté : il devient possible “d’ancrer” l’écran virtuel dans l’espace d’une pièce, l’image restant à une position fixe quand vous bougez.
Techniquement, l’ancrage marche bien ; dans la pratique, l’usage reste limité pour un simple visionnage, car nous voulons souvent que l’écran nous suive, pas qu’il reste collé à un mur virtuel. La caméra permet aussi de prendre des photos/vidéos en 16:9 paysagé, un choix pertinent pour les créateurs privilégiant le format horizontal, même si la qualité est décrite comme correcte plutôt que haut de gamme. Enfin, rappelons la question de la vie privée : se balader avec une caméra visible au milieu du nez n’est pas toujours bien perçu en public. Le prix officiel de vente est de 116 €.
Xreal Beam Pro
Le second, Xreal Beam Pro, ressemble à un “iPod sous Android” dédié aux lunettes : deux ports USB-C (un pour la charge, un pour les lunettes), stockage 256 Go, et deux modules photo espacés pour capturer de vraies images 3D. Son bénéfice majeur : voyager léger tout en évitant de siphonner l’autonomie du smartphone/PC. On installe ses apps de streaming préférées, on télécharge ses vidéos, puis on branche les Xreal One Pro. Une interface spécifique s’affiche dans les lunettes ; le Beam Pro devient pointeur/télécommande façon “Wii”, et autorise du multitâche. Le revers : quelques lenteurs et bugs signalés, une adaptation des apps au format lunettes pas toujours parfaite, pas de 4G/5G (usage Wi-Fi, avec partage de connexion si besoin), et un catalogue de mini-jeux AR très limité. Nous le conseillons surtout à celles et ceux qui veulent l’écosystème complet Xreal, préserver la batterie du smartphone, ou embarquer une bibliothèque locale sans se poser de questions.
- XReal Beam Pro à 279 €
- Caméra Xreal Eye : 12 Mpx, 16:9, ancrage 6DoF, intérêt démonstration/création, impact social à considérer.
- Beam Pro : Android dédié, 256 Go, double USB-C, interface lunettes, pas de SIM, performances modestes.
- Adaptateurs vidéo : indispensables pour les sources sans USB-C DisplayPort, Switch via dock/HDMI et adaptateur dédié.
Des défauts à prendre en compte avant d’acheter
✅ Ce que j’adore
- Une image bluffante : la fluidité et la netteté sont parfaites pour le cinéma, le travail ou le gaming.
- Le confort : fini les casques lourds, ces lunettes se portent sans gêne plusieurs heures. Mais cela dépend comme toujours de la forme de votre nez et la largeur du visage.
- Un son surprenant : riche et clair, il renforce l’immersion tout en restant discret.
- Un écran stable : l’affichage virtuel ne tremble pas, même si l’on bouge la tête.
- Polyvalence : un seul accessoire pour travailler, jouer ou regarder un film, partout.
❌ Ce qu’on aime moins
- Utilisation limitée en extérieur : avec une luminosité de 400 nits, l’écran devient difficilement lisible en plein soleil. Et surtout aucune norme UV, à privilégier donc pour une utilisation
- Accessoire obligatoire : le boîtier de stabilisation est indispensable pour profiter de l’expérience complète, ce qui augmente le prix global.
- Champ de vision restreint : 48° restent suffisants, mais un peu justes pour une immersion totale, surtout à cause du FOV vertical limité. Il faudra modifier la distance et la taille de l’écran et ajuster l’orientation des lunettes en réglant les branches.
- Ce n’est pas des lunettes AR : malgré le nom, l’usage est celui d’un écran déporté qui permet de jouer sur grand écran et regarder des films 2D ou 3D.
- Les branches sont épaisses ce qui ne permet pas de plaquer un casque audio, j’utilise donc des écouteurs in ears BT. Par contre, allongé elles ne sont pas très pratiques, il faudra adopter une position semi assis ou assis. A noter que la branche gauche qui reçoit l’alimentation chauffe très légèrement, mais vraiment rien de gênant.
- Pour les porteurs de lunettes comme moi, il faudra obligatoire ajouter les verres correcteurs avec filtre lumière bleue, comptez entre 60 € et 160 € sur le site spécialisé HONSVR.
Concurrences alternatives au Xreal One Pro
Trois alternatives à considérer :
- Viture Luma Pro à 632 € (en attente des Virture Beast) offre un réglage de la dioptrie évite l’ajout de verre correcteur
- Rokid Max 2 à 559 € (les dernières Rokid Glasses sont des vraies lunettes AR), légère et meilleur rapport qualité prix et également le réglage de la dioptrie intégré.
- HTC Vive Flow 550 €, plus encombrantes mais très performantes, régulièrement en promo.
Modèles plus anciens mais finalement proposant aussi un écran géant :
- Viture Pro à 379 €
- Lenovo Legion Glasses en soldes à 278 € (au lieu de 499 €).
Leur philosophie est similaire : des lunettes-écran branchées à une source compatible USB-C DisplayPort. Les différences exactes dépendent des révisions et bundles proposés ; privilégiez la vérification des points clés.
Critères | Viture Luma Pro | Rokid Max 2 | RayNeo Air 3s Pro |
---|---|---|---|
Confort/Poids | Très légères, design soigné. Le réglage de la dioptrie intégré est un plus pour le confort visuel. | Extrêmement légères, souvent citées comme les plus confortables du marché. Réglage de la dioptrie également intégré. | Légères et compactes, mais peut-être un peu moins que les Rokid. |
Qualité d’image | Excellente, avec des écrans Micro-OLED offrant des couleurs vives et un bon contraste. | Très haute qualité, similaire aux Viture, avec des écrans Micro-OLED réputés pour leur netteté. | Bonne qualité d’image pour son prix, mais potentiellement un cran en dessous des modèles plus chers en termes de luminosité et de contraste. |
Gestion de l’opacification (Immersion) | Intégrée via des verres électrochromiques, permettant de régler l’opacité électroniquement. | Généralement gérée via un cache physique amovible à fixer sur les lunettes pour une immersion totale. | Probablement via un cache physique amovible, solution la plus courante sur les modèles d’entrée de gamme. |
Compatibilités vidéo | Compatible avec USB-C DisplayPort (DP Alt Mode) et HDMI via un adaptateur. L’écosystème Viture (comme le « Beast ») étend la compatibilité. | Compatible avec USB-C DisplayPort (DP Alt Mode) et HDMI via un adaptateur. Grande compatibilité avec de nombreux appareils. | Compatible avec USB-C DisplayPort (DP Alt Mode). La compatibilité HDMI nécessite généralement un adaptateur vendu séparément. |
Écosystème logiciel | En développement, avec une application compagnon pour gérer les paramètres et accéder à du contenu. L’écosystème est prometteur. | Écosystème mature et bien établi avec une application mobile robuste (Rokid AR) offrant des applications et des expériences AR. | Écosystème en construction, avec une application pour les réglages de base, mais peut-être moins riche en contenu que celui de Rokid. |
Prix | 632 € | 559 € | 320 € |
❗ Prix, disponibilité et alternatives crédibles
Le prix public des Xreal One Pro est de 689 € au moment de l’écriture, avec parfois un délai de livraison lié aux phases de précommande. Le “pack complet” mentionné (lunettes + caméra + Beam Pro) grimpe à environ 1 037 €, d’où notre recommandation : commencer par les lunettes seules et envisager les accessoires selon vos besoins réels. Pour la Switch et la Switch 2, la compatibilité directe n’est pas d’actualité ; il faut passer par le dock et un adaptateur HDMI→USB-C. Un adaptateur Xreal est annoncé pour fin 2025 à destination de la Switch 2 ; nous indiquons cette information telle quelle, sans autre confirmation ici. Pour réduire le budget, des modèles Xreal plus anciens se trouvent parfois sous 300 € ; l’affichage micro-OLED reste déjà très bon, même si vous pourriez perdre des fonctions récentes (par exemple l’assombrissement à cristaux liquides intégré selon les versions ; vérification à faire modèle par modèle).
Comme toujours, le choix final dépend de votre matériel existant, de votre budget, et de votre tolérance à l’ergonomie “lunettes + câble”. Pour faciliter la décision, nous recommandons d’identifier l’usage prioritaire (films/séries en mobilité, jeu sur Steam Deck/ROG Ally, écran d’appoint PC) et d’évaluer la compatibilité en premier.
- Prix Xreal One Pro : 689 € sur le site Xreal
- XReal Beam Pro à 279 €
- Pack lunettes + accessoires à 1 037 €
- Alternatives : Viture, RayNeo ou Rokid.
Test des Xreal One Pro : le futur de l’écran portable vaut-il 689 € ?
Les Xreal One Pro vendues à 689 € ne visent plus seulement les curieux de high-tech, mais clairement ceux qui cherchent une alternative sérieuse à un écran traditionnel.
Elles misent sur un écran Micro-OLED Full HD d’une fluidité exemplaire, avec une fréquence jusqu’à 120 Hz sans latence pour les jeux. L’image est nette, colorée et se projette devant vous comme si vous transportiez une TV grand format… mais sans l’encombrement.
Elles embarquent aussi un système audio intégré directement dans les branches, offrant un son étonnamment clair. Avec seulement 76 grammes sur la balance, elles se portent facilement de longues heures sans fatigue.
Côté compatibilité, elles fonctionnent avec les PC, Mac, smartphones récents, consoles portables et même certains casques de réalité mixte. Bref, elles s’intègrent bien dans un écosystème numérique moderne.
Points forts
- Un confort premium : à peine plus lourdes qu’une paire de lunettes de soleil classiques.
- Une image convaincante : fluide, nette, immersive pour films, jeux ou travail.
- Polyvalence : faciles à connecter à de multiples appareils.
- Audio intégré qui évite de sortir ses écouteurs à chaque utilisation, mais que les personnes proches entende.
Points faibles
- Prix élevé : à 689 €, elles restent un investissement conséquent, surtout pour ce qui est encore perçu comme un gadget de niche.
- Luminosité extérieure limitée : difficile d’en profiter en plein soleil.
- Expérience AR restreinte : plus proche d’un écran virtuel déporté que d’une vraie immersion augmentée.
- Accessoires additionnels pas forcément recommandés qui gonflent encore la facture (boîtier de stabilisation, adaptateurs…).
Verdict : Les Xreal One Pro séduisent par leur design léger et leur image immersive, mais leur tarif les réserve surtout aux passionnés et aux pros en quête d’un écran nomade innovant. Pour le grand public, elles restent encore un luxe. J’ai tendance à conseiller les Rokid Max 2 à 429 $ ou encore le modèle précédent Xreal Air 2 Pro à 339 € qui offrent la même qualité d’image pour 2 fois moins chers. L’idéal dans tous les cas est de pouvoir les essayer pour vous faire votre propre avis, la plupart des marques permettent d’ailleurs un retour.
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