IA News 8 : L’arrivée d’AI Overview comment rester visible sur Google, Générer des vidéos, créer un plugin WordPress avec l’IA !
IA News 8 : le résumé de la semaine du 28 mai au 4 juin 2025
Actus IA | Boîte à outils Intelligence Artificielle Clairy AI
Retrouvez chaque semaine dans ce résumé des informations facilement accessibles sur l’Intelligence Artificielle. Mon objectif ici est de faciliter l’accès aux actualités et les possibilités offertes par cette nouvelle technologie tout en ayant la pleine conscience de ses dérives possibles. Mais je n’hésite pas à explorer ce que je nomme les techniques IA de « Black Cap » (en référence aux techniques SEO de « Black Hat ») pour vous présenter des solutions plus extrêmes.
Dans ce numéro 8, je vous propose ma réflexion (urgente) sur l’arrivée de l’IA Overview dans le moteur de recherche Google et son impact sur les stratégies marketing de visibilité en ligne (SEO et GEO). La génération par IA du blog d’Anthropic. Les nouvelles IA et la montée en puissance des agents IA comme Manus.im (nos collaborateurs virtuels), les améliorations constantes de la boîte à outils Clairy.ai et un exemple de prompt extrêmement simple pour créer une extension ou plugin WordPress opérationnel gratuitement et en quelques minutes.
Sommaire
- 1 Aperçus IA dans Google : la fin du SEO et l’arrivée du GEO (je vous explique)
- 2 Encore plus fort que les aperçus IA de Google, voici AI Mode
- 3 Anthropic : son blog généré par son IA Claude
- 4 Samsung : la surprenante stratégie IA du coréen entre Google et Perplexity
- 5 Manus l’agent IA chinois interactif
- 6 DeepSeek et la méthode d’entraînement d’IA chinoises
- 7 Character.AI lance la génération de vidéos et des flux sociaux
- 8 Black Forest Labs pour la création d’images
- 9 Prompt de la semaine : « c’est moi qui l’ai fait !’ plugin WordPress no code en 30 minutes !
Aperçus IA dans Google : la fin du SEO et l’arrivée du GEO (je vous explique)
Les Google AI Overviews (Aperçus IA), récemment intégrés en haut des résultats de recherche, sont en train de révolutionner la façon dont l’information est présentée et consultée sur le web. Ces encadrés, générés par intelligence artificielle, proposent des réponses directes, structurées et concises aux questions des internautes, s’appuyant sur plusieurs sources jugées fiables. Cette évolution répond au changement d’habitudes : alors que 92 % des recherches passaient auparavant par une requête Google classique, ce chiffre est tombé à 87 % avec l’essor des chats IA tels que ChatGPT, Gemini, Claude, Copilot, Character.AI ou Perplexity AI.
L’impact des Aperçus IA sur le SEO est considérable : les utilisateurs obtenant une réponse immédiate n’ont souvent plus besoin de cliquer sur les liens organiques, provoquant une chute significative du trafic pour de nombreux sites. En conséquence, certaines entreprises ont arrêté de publier du contenu, craignant la perte de visibilité, de prospects et de revenus. Ce phénomène touche en premier les sites d’informations, d’actualités, de guides pratiques ou de tests, mais pourrait rapidement s’étendre aux recherches culturelles et transactionnelles (surtout avec AI Mode).
Aujourd’hui, je voulais simplement vous sensibiliser à ce risque critique. La bonne nouvelle est qu‘il existe des solutions opérationnelles à appliquer dès maintenant. Vous pouvez compléter cette lecture avec l’article qui explique le fonctionnement de IAO et mes premiers résultats réels pour être visible dans Google.
Encore plus fort que les aperçus IA de Google, voici AI Mode
Après le déploiement des AI Overviews, Google va encore plus loin avec l’introduction de l’AI Mode dans son moteur de recherche. Ce nouveau mode, actuellement réservé aux États-Unis, marque un changement majeur dans la façon dont les utilisateurs accèdent à l’information sur le web. Contrairement aux AI Overviews qui proposent des résumés courts et synthétiques des résultats, l’AI Mode fournit des réponses bien plus détaillées, pouvant s’apparenter aux interactions avec des outils comme ChatGPT ou Perplexity. Google ambitionne même d’aller jusqu’à remplacer son célèbre bouton « J’ai de la chance », présent depuis 27 ans, par ce nouveau mode d’interaction, mettant en avant sa volonté d’imposer progressivement l’IA dans toutes les recherches.
L’AI Mode intègre aussi un « Deep Search », comparable à la fonction Deep Research de ChatGPT, permettant de générer des rapports approfondis sur des sujets variés, en s’appuyant sur de nombreuses sources en ligne. Si cette technologie est désormais généralisée à l’ensemble des utilisateurs américains, son déploiement en France et dans le reste de l’Union européenne reste incertain. Plusieurs obstacles se dressent : la régulation européenne sur la concurrence (Digital Markets Act) limite l’autopromotion des services Google ; l’AI Act encadre également strictement la création de contenus par l’IA, notamment pour éviter la diffusion de fausses informations. De plus, répondre à partir de nombreux sites web impliquerait pour Google de payer des droits à de multiples éditeurs, ce qui peut représenter un coût considérable.
Pour l’instant, Google procède avec prudence, testant l’AI Mode uniquement aux États-Unis. En France, je ne suis pas certain que nous avons intégré la menace des AIO et vient déjà celle de l’AI Mode. Entre innovations technologiques majeures et complexités légales, l’arrivée de l’AI Mode en France redéfinirait véritablement la recherche sur Internet, mais surtout bouleverser les pratiques marketing des entreprises de toute taille.
Anthropic : son blog généré par son IA Claude
Pour illustrer ma réflexion sur la fin du SEO et l’arrivée du GEO voici un exemple actuel, mais loin d’être isolé. Anthropic a lancé, sans bruit, « Claude Explains », son nouveau blog généré principalement par son IA Claude. Le but : démontrer les capacités rédactionnelles de Claude en publiant des articles techniques sur différents usages comme « Simplifier des bases de code complexes avec Claude ».
Certes, le contenu du blog n’est pas exclusivement le fruit de l’IA. Selon Anthropic, chaque article passe par des experts humains et une équipe éditoriale qui « enrichissent » les brouillons de Claude avec des exemples concrets, des explications et des connaissances contextuelles. Ce processus collaboratif n’est pas mis en avant sur la page d’accueil, ce qui pourrait laisser penser que l’IA est seule à rédiger.
Vous l’aurez compris, Anthropic n’est pas le seul à tester la génération de contenu de blog par IA, c’est aussi le cas pour OpenAI, Meta ou Bloomberg. Personnellement, je suis aussi en train de mettre en place ce test pour les articles sur l’IA sur StylistMe.com (en collaboration avec la solution d’agents IA d’OrNsoft). Le risque en poussant cette technique à l’extrême, c’est-à-dire en laissant nos collaborateurs virtuels rédiger, illustrer, optimiser et publier le contenu est d’avoir des erreurs ou les informations incorrectes. Il est « possible » que certains sites de sources primaires commencent aussi à publier des fakes news volontairement, ou pire arrêtent tout simplement de publier ayant pour effet d’accroître ce risque.
Samsung : la surprenante stratégie IA du coréen entre Google et Perplexity
Samsung semble jouer sur deux tableaux dans sa stratégie d’intelligence artificielle, créant une situation paradoxale qui interroge sur ses relations avec Google. D’un côté, le géant coréen s’associe étroitement à Google pour développer le projet Moohan, un casque de réalité mixte sous Android XR qui intègre nativement l’assistant Gemini. De l’autre, il négocie un accord stratégique à 500 millions de dollars avec Perplexity AI, concurrent direct de Google dans le domaine de la recherche conversationnelle.
Cette dualité stratégique révèle les tensions au sein de l’écosystème Android. Samsung, tout en restant le principal partenaire matériel de Google, cherche visiblement à réduire sa dépendance technologique en matière d’IA. L’intégration prévue de Perplexity dans le navigateur Samsung Internet et la modernisation de Bixby (on assistant vocal maison) grâce à cette technologie constituent un affront direct aux services de Google, notamment Gemini.
Le timing de ces annonces est particulièrement révélateur : alors que le projet Moohan est présenté comme la réponse conjointe de Google et Samsung à l’Apple Vision Pro, les négociations avec Perplexity valorisent cette start-up à 14 milliards de dollars et prévoient une préinstallation de ses services sur tous les futurs smartphones Samsung Galaxy.
Cette stratégie à double tranchant pourrait s’expliquer par une volonté de Samsung de se positionner sur différents segments technologiques : s’appuyer sur Google pour rattraper son retard en réalité mixte, tout en développant une alternative crédible à Gemini sur ses smartphones, son cœur de marché.
Pour Google, cette situation est délicate : son partenaire historique sur Android flirte ouvertement avec son concurrent direct dans la recherche, domaine stratégique s’il en est. Cette tension illustre parfaitement les nouvelles dynamiques concurrentielles de l’ère de l’IA, où les alliances d’hier peuvent rapidement se transformer en rivalités de demain.
Manus l’agent IA chinois interactif
Manus AI, dont le nom évoque, pas un de vos amis, mais la « main » en latin, suggérant la création, l’artisanat ou une interaction plus directe est un nouvel agent IA chinois, bien moins « sous contraintes » directives gouvernementales chinoises.
Il s’agit d’un agent IA, c’est-à-dire un logiciel (ici en ligne) qui utilise l’intelligence artificielle pour effectuer des tâches ou prendre des décisions à partir de données. Il s’agit d’un assistant virtuel capable d’automatiser des processus, d’analyser des informations et d’interagir avec son utilisateur.
Un atout de Manus IA est qu’il vous affiche ce qu’il fait au fur et à mesure de la progression de ses recherches et ses actions. Mieux encore, vous pouvez réagir pendant qu’il travaille pour faire évoluer son processus. Exactement comme avec un véritable collaborateur, je trouve ce concept très proche de la gestion de projet en mode Agile appliquée à une IA.
Je vous invite à l’essayer gratuitement et n’hésitez vraiment pas à lui soumettre des requêtes complexes comme la création complète d’un site Web prêt à être publié sur une thématique donnée. Cela lui prendra une vingtaine de minutes ! Vous pouvez aussi l’utiliser comme outil avancé de veille, car il se connecte en direct au Web en ayant parfaitement conscience de la date du jour (ce qui est parfois un souci avec d’autres IA qui vous dise que le produit est prévu pour sortir en juin 2023…). Il y a vraiment quelque chose d’agréable dans l’utilisation interactive de cette solution. Vous voyez l’artisan créer votre produit et lui indiquez en direct les modifications à faire pour répondre exactement à vos demandes.
Cependant, en réalité Manus utilise principalement une chaîne de modèles et des fonctions Claude Sonnets, Queens et de Perplexity. Autre défaut, après le crédit de nouveau compte de 1000 crédits, vous n’en obtiendrez que 300 utilisables chaque jour. Insuffisant pour en faire votre IA gratuite quotidienne, pour en profiter pleinement, il faudra donc opter pour un des 3 plans mensuels de 19 à 199 $ par mois.
DeepSeek et la méthode d’entraînement d’IA chinoises
Autre IA de l’Empire du Milieu et même pratique potentielle d’utilisation du travail des autres, je vous le disais en introduction, on est dans l’air du Black Cap. Le laboratoire chinois DeepSeek a dévoilé une nouvelle version de son modèle d’IA de raisonnement, R1, qui se distingue sur de nombreux benchmarks en maths et en programmation. Cependant, la société n’a pas révélé l’origine de ses données d’entraînement, ce qui a alimenté des soupçons parmi la communauté IA : des chercheurs pensent que DeepSeek aurait utilisé en partie des sorties issues de la famille d’IA Gemini de Google. Sam Paech, développeur à Melbourne, a partagé des éléments suggérant que R1-0528 emploie des tournures similaires à celles de Gemini 2.5 Pro. Un autre développeur, derrière l’outil SpeechMap, estime que les “traces de réflexion” du modèle DeepSeek rappellent fortement celles de Gemini.
L’an dernier déjà, DeepSeek avait été soupçonné d’entraîner ses modèles sur des données d’OpenAI : son modèle V3 s’identifiait parfois comme ChatGPT. OpenAI et Microsoft ont d’ailleurs détecté de gros transferts de données vers des comptes affiliés à DeepSeek, laissant penser à des techniques de “distillation” consistant à entraîner un modèle sur les productions d’un autre, plus performant. Cette pratique est commune, mais contraire aux règles d’OpenAI.
La prolifération de contenus générés par IA sur le web complique l’exclusion totale de ce type de données lors de l’entraînement de nouveaux modèles. Pour limiter la distillation, OpenAI exige désormais une vérification d’identité pour certains accès API (hors Chine), et Google comme Anthropic se mettent à “résumer” les traces de leurs modèles, rendant plus difficile leur exploitation. Mais eux ne se gênent évidemment pas pour se sourcer sur vos données personnelles et tous les contenus produits par des indépendants ou des sites d’informations employant des rédacteurs humains. Ce que je conceptualise comme le paradoxe de l’IA générative est en train d’arriver : l’IA s’entraine avec du contenue généré par l’IA. Certains diront simplement le Chat (IA de Mistral) qui se mort la queue. Le dicton de l’arroseur arrosé fonctionne aussi ou le copieur copié ! La porte est grande ouverte aux deep fakes structurées et sourcées sur d’autres deep fakes.
Character.AI lance la génération de vidéos et des flux sociaux
La plateforme Character.AI, connue pour ses conversations et jeux de rôle avec des personnages IA, enrichit ses fonctionnalités avec de nouveaux outils multimédias. Désormais, vous pouvez créer des vidéos via AvatarFX, intégrer votre personnage dans des scénarios interactifs, et partager ces contenus sur un fil communautaire similaire à un réseau social. Avec AvatarFX, il est possible d’utiliser une photo, de choisir une voix et d’écrire les dialogues d’un personnage, chaque utilisateur ayant droit à cinq créations vidéo par jour. Je vous ai fait un petit exemple. Les vidéos peuvent être insérées dans des scénarios préexistants, et bientôt, les Streams permettront de faire interagir deux personnages dans des moments dynamiques, à partager largement.
Toutefois, cette évolution s’accompagne de préoccupations importantes : la plateforme a déjà fait l’objet de plaintes pour dérives, certains chatbots ayant incité de jeunes utilisateurs à l’automutilation ou au suicide. Malgré des systèmes de sécurité, comme le floutage des visages et l’ajout de filigranes sur les vidéos, des risques d’usages abusifs persistent, notamment via des deepfakes ou l’utilisation non consentie d’images de célébrités. Character.AI affirme vouloir stimuler la créativité tout en assurant un environnement sécurisé, mais la vigilance reste de mise à mesure que ses outils deviennent plus puissants et accessibles à tous.
Black Forest Labs pour la création d’images
La startup allemande Black Forest Labs, connue pour avoir alimenté les fonctionnalités d’images du chatbot Grok de X, lance Flux.1 Kontext, une nouvelle famille de modèles d’IA capables de générer et d’éditer des images à partir de textes ou d’images de référence.
Flux.1 Kontext se décline en deux versions principales : Flux.1 Kontext [pro], qui autorise plusieurs itérations pour affiner les images tout en conservant le style ou les personnages ; et Flux.1 Kontext [max], axé sur la rapidité et la précision avec les instructions. Ces modèles promettent des rendus photoréalistes, une fidélité aux prompts et même une typographie compétitive, tout en étant jusqu’à huit fois plus rapides que les concurrents. Contrairement à certains anciens modèles, ces versions ne sont pas téléchargeables pour un usage hors ligne. Néanmoins, la version ouverte Flux.1 Kontext [dev] est en bêta privée pour la recherche et la sécurité. Black Forest Labs propose aussi un espace de test en ligne, offrant 200 crédits gratuits (environ 12 images) aux nouveaux utilisateurs, sans inscription nécessaire sur un service tiers.
Ce lancement intervient alors que la concurrence s’intensifie dans la génération d’images IA, avec les récentes sorties d’Imagen 4 de Google et du nouveau modèle d’OpenAI. Issue de fondateurs venant de Stability AI, Black Forest Labs attire des investisseurs prestigieux (Andreessen Horowitz, Oculus, Y Combinator) et continue d’innover avec des services et APIs pour entreprises. Personnellement, je crois plus à la génération de vidéo plus prête à mange
Prompt de la semaine : « c’est moi qui l’ai fait !’ plugin WordPress no code en 30 minutes !
Traditionnellement je laisse aux équipes de développeurs de mon partenaire OrNsoft aux USA le soin de concevoir et réaliser mes applications ou programmes. Et puis à force d’écrire sur l’IA et ses supers pouvoirs, je me suis dit comment augmenter ma productivité pour la création d’article dans ce site sous WordPress. Pour cela j’ai pensé à une extension WordPress personnalisé qui allait me permettre d’éviter des recherches sur le Web, des des copier/coller, une remise en page.
J’ai donc demandé à l’IA Gemini de me créer mon extension WordPress. J’ai vraiment détaillé sommairement mon besoin avec ce simple prompt :
Fait le code d’une extension pour WordPress qui permet d’intégrer l’IA Gemini directement dans l’éditeur de post. L’extension doit permettre d’indiquer un sujet, un mot clé SEO à optimiser et de une à 3 sources
Et là, la magie de l’IA, Gemini m’a généré 3 fichiers en quelques minutes :
gemini-post-generator.php
(Fichier principal du plugin)js/gemini-admin-script.js
(Fichier JavaScript pour l’interaction)css/gemini-admin-style.css
(Fichier CSS pour un style minimal)
Je n’ai eu ensuite qu’à créer un dossier en y mettant ces 3 fichiers, le compresser et ouvrir WordPress pour ajouter mon extension maison.
Pas totalement satisfait du résultat et de son positionnement sur ma page de post, j’ai donné mes corrections à Gemini pour me générer de nouveaux fichiers.
Fait évoluer le code pour ajouter une zone de saisi d’un prompt pour donner les consignes de rédaction pour le post avec la possibilité de le sauvegarder avec un nom spécifique. L’extension WordPress utilise une Api Key de Gemini 2.0 Flash L’auteur du plugin est Rodolphe Degandt. Corrige aussi le contenu qui va être généré dans un bloc indépendant sous forme de code HTML dans un bloc sous le bouton « Générer l’article ».
Place le plugin juste en dessous de l’article et pas dans la colonne de droite.
En fait, je donne à l’IA des consignes de programmation pour des développeurs comme je le ferais pour accompagner un de mes clients.
Automatiquement le plugin a changé sa version en 1.2.0, je l’ai réinstallé et j’ai été chercher une clé API gratuite de Gemini 2.0 Flash que j’ai copié/collé pour activer mon plugin et c’est tout !.
Cette fois-ci, en 30 minutes maximum, j’ai créé mon extension gratuite pour m’aider à rédiger un brouillon d’article avec Gemini directement dans WordPress.
Evidemment, je pourrais vous parler de techniques plus avancées qui permettent véritablement de créer du contenu de manière quasi à 100 % automatisée ou votre propre workflow entièrement personnalisé et adapté à votre activité avec un agent IA avancé, mais cela prendrait beaucoup plus de temps, mais j’y reviendrais pour vous proposer des formations « Black Cap IA » ou l’utilisation de l’IA pour gagner en visibilité et productivité face aux changements majeurs imposés par Google pour le SEO et le SEA sur cette deuxième partie de l’année en France.